Ce matin, c’est sur une vue superbe que l’on se lève. Comme le champ d’olivier dans lequel nous nous trouvons semble ne pas être une propriété publique (lol), nous ne tardons pas trop à partir, il nous reste un peu moins d’une heure avant d’arriver à Aréopoli et aux grottes de Diros que nous espérons visiter dans la journée.

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Vers 10h, nous arrivons sur la petite plage de galet blanc qui se trouve près de l’entrée aux grottes. On en profite pour prendre un petit déjeuner sur ce qui nous reste de course (des gaufres industrielles, des wraps au nutella, des sortes de biscottis).

On se dit que ça pourrait être sympa de profiter de la plage et d’aller visiter les grottes entre midi et deux, quand il y aura moins de monde, car là, à 10h, il y a pas mal de queues. Erreeeeeeur, mais on verra ça plus tard.

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En tout cas, la plage, on apprécie bien. En allant un peu à gauche au niveau des parois rocheuses, on se trouve des cavités vraiment cool à explorer. Genre une sorte de grande cavité dans la paroi avec un tunnel qui permet de rejoindre la mer ! Il ne faut pas être claustrophobe et faire attention à sa tête, mais c’est marrant (dommage qu’on n’ait pas de gopro, ça aurait été sympa de filmer ces moments ou de pouvoir prendre des photos).

Un peu plus loin, on a même trouvé une petite grotte éclairée d’une lumière verte fluo absolument superbe ! Trop cool comme endroit, en tout cas, il faut bien explorer les replis rocheux pour découvrir ces perles cachées.

Vers 12h-13h, on quitte la plage pour prendre nos billets pour les grottes… Et on apprend que les billets pour la visite complète des grottes en barque ont tous été vendus pour la journée depuis une heure… Pas cool ça avait l’air sympa cette promenade en barque parmi les stalactites et stalagmites…

Finalement, on prend la visite sur la partie qui se fait à pied (on en a pour 4 euros, avec les barques tarif réduit c’était 8 euros). C’est joli, après ça reste une balade parmi les grottes. Ce qui est vraiment bien c’est la fraîcheur qu’on trouve dans les grottes.

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À nouveau à la lumière du jour, une partie de notre groupe retourne se baigner pour profiter une dernière fois des grottes que nous avons découvertes.

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Vers 16h, on quitte les grottes de Diros, direction Aréopoli pour trouver un endroit où manger (ouais il est 16h et alors ? C’est les vacances !). On va un peu au hasard dans les rues d’Aréopoli, qui est une petite ville assez sympathique du peu qu’on en voit. On trouve une taverne et on va y manger. Honnêtement, je ne sais absolument pas comment ça s’appelle, mais on prend quelques trucs et c’est vraiment bon. Par exemple, la salade à l’orange (des morceaux d’orange, un mélange de fromage à base de feta, de l’oignon rouge, des pommes de terre) est super bonne ! C’est frais, léger ! On prend aussi des croquettes de fromage, encore du tzatziki, du saganaki…

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Quand nos estomacs sont pleins, on reprend la route, direction notre prochain campement : les cascades de Neda, qui se trouve quand même à 3h de route.

La route jusqu’à Kalamata, le long de la mer, est absolument superbe. En plus, avec le soleil qui descend dans le ciel, les couleurs sont magnifiques. On traverse quelques villages qui ont l’air vraiment cool, on regrette de ne pas avoir plus de temps pour en profiter.

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On galère un peu pour trouver les cascades de Neda, Maps nous emmène dans des coins un peu paumés, mais heureusement que les Grecs sont supers sympas, car ils nous indiquent le chemin ! On arrive à trouver des panneaux qui indiquent les cascades, mais à partir de là, la route devient VRAIMENT pourrie. Et méga en pente. Avec un ravin de l’autre côté de la route. Et il fait nuit. Bref on descend doucement, en serrant les fesses avec la peur de rater un virage et l’idée que la caution des voitures s’éloigne un peu plus à chaque gros caillou.

Au terme de trente minutes de descente lente et on ne va pas se mentir, assez angoissante dans le noir comme ça, on arrive sur un parking. À trois minutes à pied, il y a une sorte d’espace plutôt cool pour camper avec une source d’eau juste à côté de la rivière. Il y a déjà d’autres campeurs déjà installés, mais il y a assez de place pour tout le monde ! On installe donc nos tentes, les hamacs et c’est parti pour la meilleure nuit de bivouac que l’on n’a jamais passée, car demain matin, aucun agriculteur en colère ne pourra venir nous réveiller !

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